Lettre de Félicien Rops à Alfred Verwée. s.l., 1893/11/18. Province de Namur, musée Félicien Rops, APC/27194/68
Page 1 Recto : 1Mon Cher AlfredLe malheur qui vient de frapper Janson me navre. Je n’étais pas son ami, mais il est des circonstances où la sympathie a le droit d’empiéter sur les privilèges de l’amitié. Remets lui donc ou fais lui remettre par la poste la lettre ci-jointe je te prie.Je te serre bien la main Mon Cher Alfred, & fais mes grandes amitiés à MmeVerwée, & à ta Chère famille. Que le sort te préserve comme moi de semblables malheurs ! –Ton vieil amiFélicien RopsN’oublie pas que tu es attendu iciClaire N°1 attend Claire N°2 avec impatience.