Fragment de Félicien Rops à [Léon] [Dommartin]. s.l., 0000/00/00. Bruxelles, Bibliothèque royale de Belgique, II/6714/38a
Page 1 Recto : 1P.S.Je tiens surtout à ce que nous ne reparlions plus de l’incident Bonvalot. Quand je te dis qu’Auré & elle, pensent que tu as eu peur – sachant que la jeune fille ne voulait pas – ce qui était une preuve de belle honnêteté, se dérober aux charges de sa famille charges momentanées, (et la preuve c’est que le jeune Bonvalot excellent sujet, a maintenant une bourse, & que les parents ont leur position sauve,) elles ne croient pas sottement que c’est seulement la peur de la misère apparente mais la peur d’assumer trop de responsabilités, responsabilités qui n’existaient pas réellement, mais qui paraissaient exister, dont tu as eu peur. Voilà tout. Car ce ne sont pas les lettres pleines de bon sens que la petite Marie t’a écrites qui ayent pu te donner motif à rupture, à moins d’être un sot. – Au fond il y a de tout cela, évidemment, mais il y a surtout ce qu’il y a eu toujours éternellement chez toi : ne pas savoir prendre une résolution et l’éternelle peur d’être moins b