Lettre de Félicien Rops à [Léon] [Dommartin]. Mettet, 0000/00/00. Bruxelles, Bibliothèque royale de Belgique, II/6655/455
Page 1 Recto : 1CroquisComment il advint que le bon tailleur d’imaiges se despartit de Brucelle en Brabant a seule fin de fuyr les maléficieuses enchanteries d’une belle gouge de gentille encoleure, à laquelle, pour très mignonnement s’accointer il eut donné sa part de paradys.Cher Vieux,Ci-dessus le monsieur embêté & gâteux c’est moi, le chien c’est Pan, le dessin c’est « le Secret de Polichinelle » – le crayon c’est « le spirituel crayon auquel nous devons etc etc &c. – Pan seul est intéressant ! Ah mon ami ! je vais partir plus loin ! – J’oubliais l’oie ! – l’oie apportée par lePage 1 Verso : 2Monsieur embêté pour lui rappeler que nous sommes tous mortels ! – Je vais aller plus loin te dis-je ! J’ai chaussé aujourd’hui ces vieilles jambières, qui, te rappelles-tu ? on vu l’an dernier en ta compagnie Cher Vieux tant d’endroits bizarres & fantastiques. – Je vais aller plus loin, plus loin, du côté de l’aurore ! – plus loin où « elle » ne sera pas, où elle sera cependant !Je t’écris du