Lettre de Félicien Rops à [Félicien] Champsaur. s.l., 1886/11/00. Province de Namur, musée Félicien Rops, LEpr/283
Page 1 Recto : 1Mon cher ChampsaurJe suis réellement désolé de la fatalité qui m’empêche de vous serrer la main. Cela devient magique tout comme si Joséphin Péladan, aimé des « intermédiaires » s’en mêlait ! – Il faut conjurer cela ! Je prends donc non pas un jour, mais un demi-jour comme plus convenable à ma personnalité voilée & effacée. Tous les matins de tous les jeudis de 8 heures ½ à midi, je serai chez moi.Comme je deviens de plus en plus vagabondeux, je tiens à fixer une « heure d’amis » par semaine. C’est peu, mais c’est encore mieux que de ne pas les voir, ce qui me devient pénibles, quelque soit ma sauvagerie. J’ai à vous remercier mon cher Champsaur de la note que vous avez insérée, à mon endroit, à travers votre article sur les Revues nouvelles.Page 1 Verso : 2Vous avez toujours été charmant pour moi, & je vous en suis vraiment reconnaissant.J’ai bien regretté mon absence de la Roche-Claire lorsque vous y êtes venu avec Mme Champsaur & mr Detouches. J’étais allé en bateau