Lettre de Félicien Rops à [Octave] [Uzanne]. [Paris], 1892/01/23. Province de Namur, musée Félicien Rops, APC/27193/5
Page 1 Recto : 123 Janv. 1892.Mon Cher Vieux,Auré se remet, tout doucement, mais sa bonne et forte constitution saura triompher je l’espère, de la violence du coup, et de l’inattendu de cette véritable catastrophe. Il eut été préférable que le petit soit venu en morceaux, que de se montrer, d’apporter toutes les joies et toutes les espérances, et de disparaître en laissant tous les regrets. C’est un navrement. Je ne m’en console pas et je pleure le petit Jacques comme s’il avait eu dix ans. Viens lundi si tu peux, un moment à la soirée, je ne sors pas et nous sommes toujours auprès de la chérie sur la tête de laquelle tant de vies sont attachées.À Bientôt Mon Vieux, et tous nous te faisons les meilleures amitiés.Fély