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La Demi-Lune – Essonnes (Seine & Oise) 7 sept. 1893
Mon Cher Monsieur Schück,
il faut que vous usiez de votre très bienveillante indulgence pour me pardonner un tas de torts dont vous auriez le droit de vous plaindre & très vivement. Je vous écrirai & très longuement sous peu de jours & j’espère que vous me pardonnerez ces longs silences, lorsque vous connaîtrez la valeur des motifs qui me l’ont imposé. Enfin ! me voilà guéri moralement & physiquement à ce qu’il me semble, & prêt à donner à mes amis, à ce que je crois, quelques compensations pour toute la patience & la complaisance dont ils ont fait preuve à mon égard.
À bientôt & mes affectueux Compliments :
Félicien Rops
Je suis ici jusqu’au 1er novembre, probablement.