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Lundi le 19 sept 1892.
Mon Vieil ami,
Si tu as un jour profites-en pour venir le passer avec moi. Il fait un temps merveilleux, un idéal d’automne. Et l’on respire frais et bon ! – Puis tu verras mes « mansardises » Viens donc, pas n’est besoin d’attendre Dimanche. J’ai à te dire un tas de choses. Prends un congé.
Je ne peux bouger à cause de l’exequatur donnée au jardinier Lefebvre ! Je me sers de concierge.
<J’oubliais : Ne pourrais-tu me donner les nos de l’Art Moderne où il est question de moi ?>
Commentaire de collaboration
Selon les recherches de Fanny Makoudi dans le cadre de son mémoire Par la plume et le crayon : édition critique de la correspondance de Félicien Rops à Octave Uzanne (Université libre de Bruxelles, 2014), le destinataire de la lettre pourrait être soit Octave Uzanne, soit son frère Joseph.