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écrivez moi un mot & dites moi quand vous comptez revenir à Paris. J’ai à vous parler de beaucoup de choses. – J’ai été bien péniblement surpris de la mort de votre frère, mais j’ai été réellement épouvanté de la fatalité des circonstances qui l’ont causée. – Quel coup malheureux du sort ! – C’est navrant. J’espère vous revoir bientôt. – Présentez mes respects à vos parents & écrivez moi.
Je vous serre la main affectueusement
Félicien Rops
Paris le 16 oct 1885
Commentaire de collaboration
Source : Hélène Védrine, Correspondance inédite, Félicien Rops-Joséphin Péladan, Paris, Séguier, 1997, p. 172.