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8 mars 1873
Mon cher Péladan
j’arrive des champs, je trouve votre lettre, & j’y réponds immédiatement, je vous répondrai demain plus longuement. Je suis exactement comme vous, je ne sais ce qui nous a éloigné l’un de l’autre, je ne puis en accuser que les hasards de la vie Parisienne ; car personnellement je ne crois jamais avoir forfait aux devoirs que m’imposait le souvenir de notre déja vieille amitié.
À demain donc
votre ancien
Félicien Rops
Commentaire de collaboration
Source : Hélène Védrine, Correspondance inédite, Félicien Rops-Joséphin Péladan, Paris, Séguier, 1997, p. 250.