Lettre de Félicien Rops à [Victor "Coco" Hallaux]

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Je suis allé deux fois chez toi il y a quelques semaines, mais depuis que tu as fait placer une poterne sur ton palier :

Il n’y a plus moyen d’apercevoir le bout de ton nez – les gardiens du palais veillent ! comme dans Lazare le Pâtre, & la bonne Joséphine est retirée dans son téton. – (Ne lui montre pas cela elle dirait que je n’ai pas reçu d’éducation, & elle me comparerait à Kindt de Rot-en bec ce qui m’humilie toujours !!) – Il est charmant Kindt et il a quelque prestance, mais Vestris était plus folâtre avoue-le !

Enfin je ferai de nouvelles tentatives & j’apporterai un Krupp ! & je forcerai Kindt à sourire !!

Jouret « me prie de te prier » de faire insérer le plus tôt possible ! au nom de l’amitié sainte, embêtante souvent pour toi, mais sainte tout de même, de faire insérer dans ton organe,

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(rien de l’olfactif !) la réclame suivante ; Il s’adresse à moi parce que la demoiselle en question est la sœur d’un de mes amis, – & que je passe auprès des hommes de 1830 pour être le tien, – ce que tu ne prouves pas, cochon !

Ci-jointe la littérature tournaisienne & athoise ; – je n’y ai ajouté qu’une phrase.

Je trouve drôle de réimprimer cette phrase de nos aurores, à vingt ans de distance ! (crois-tu qu’il y ait vingt ans ?) – Espérons qu’elle portera plus de bonheur à MlleRenaux qu’a Adèle Dullé. – et que nous la réimprimerons encore !!!!!!!!!!!

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