Lettre de Félicien Rops à [Léon Dommartin]

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décidément le guignon a été le plus fort, & moi qui me faisais une fête de ces huit jours passés dans les montagnes avec toi, me voilà rentré, un peu attristé, & j’ai déja le nez collé sur une planche de cuivre ! – Que veux-tu ? – Jamais un ensemble d’évènements auquel je ne pouvais m’attendre, & encore bien moins deviner, n’a été combiné par la fatalité pour contrarier mes projets, – & les tiens, avec plus de soin. – Tout y a été ! – Et de ces huit jours je n’ai pas eu un jour de tranquillité morale, ni à HerbeumontVoir la définition, ni à NamurVoir la définition, ni à ThozéeVoir la définition, ni à DinantVoir la définition. Je suis parti embêté & attristé comme je viens de te le dire. Ta bonne lettre reçue à ThozéeVoir la définition m’avait un peu consolé de ces déboires. Écris moi un peu Mon Vieil, tu sais que tes chagrins sont les miens. – La question du mariage s’arrangera-t-elle ? Si elle ne s’arrange pas il faut à tout prix qu’E.Voir la définition ne revoie pas cet être là, ou il arrivera malheur, c’est certain. – Je sais beaucoup

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de choses que je te dirai plus longuement. Ne sois surtout pas brutal avec elle. Tu obtiendras plus par une douceur – clairvoyante, – que par la violence. Ce conseil est des plus importants.