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Je travaille comme un âne et je ne peux bouger de ma chaise « curule ». Vous qui vaguez dans les ciels gris auriez-vous par l’heure de venir me donner des nouvelles de cette presse qu’attend la société des Forts aquatiques ?
Je vous donnerai pour cela – ah 8 – une épreuve – unique – d’une planche de ce bon graveur qui a nom Félicien Rops et dont les jours se passent à caresser d’une pointe amoureuse des cuivres rosés comme fesse de pucelle. Ce pourquoi Dieu lui sourit……..