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1er Déc 1888
Mon Cher Monsieur,
Je suis malade, dégouté de ce que je fais, & incapable de faire mieux. Je dois partir pour Tunis dans quelques jours. Je me trouve dans l’impossibilité de tenir la promesse que j’ai faite à Mr Verlaine. Le croquis dont je vous ai parlé n’est pas venu, & tout cela m’énerve & m’irrite. Je dédommagerai Verlaine un de ces jours, & j’espère que je serai dans des dispositions de travail meilleures.
Recevez mes regrets et mes civilités
F. Rops