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½ Lune. Juin 1893.
Mon Cher Rassenfosse,
J’espère que cette lettre vous arrivera encore à temps, – quoique les postes n’aient guère progressé depuis S.M Louis XI ! Dites à Donnay que je le félicite de son dessin : Ayez pitié, & que je regrette beaucoup de ne pas l’avoir assez vu. À son prochain voyage nous ferons mieux. Quant à vous Mon Cher Ami, bon voyage, revenez-nous vite puisque vous sentez l’influence mystérieuse de ce bon Paris, – ce que tout le monde ne sent pas. J’espère que tous les vôtres sont en bonne santé. Je vous écrirai bientôt.
Je vous serre bien la main de déja très vieille amitié
Fély Rops
