Lettre de Félicien Rops à [Armand Rassenfosse]

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Je t’embrasse de tout cœur Mon déja « vieil ami »je crois que tu y es ! – Je reviens des Champs, et j’ai passé mes « fêtes de Pâques à triturer des vernis à l’aide des mastics, des résines, du vernis-copal etc etc. J’en avais trouvé un ! mais il était rebelle au séchage malgré l’adjonction de siccatifs violents, il séchait ! mais pas assez vite ! pas assez vite !! Le TIEN me parait tout réunir et nous serons sauvés je l’espère de toute souffrance en dehors du travail ! Le mien avec une condensation de siccatif de Harlem, de pétrole, et vernis copal est bon, mais inférieur a celui que tu me fais parvenir et sa siccativité rapide est sa meilleure qualité, et les autres ne lui manque pas !

Tu ne trompe pas ! Ta planche d’essai est plus harmonieuse de ton, que ce que tu m’envoyais avant cela.

Nous sommes sauvés

A.M.D. Gloriam !

ou

Ad majorem Satanis gloriam si tu veux. J’allais t’envoyer une bouteille de vernis. Inutile ! tu as le

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record du vernis définitif.

Allons ! à l’ouvrage !

Ce que l’ancien Vernis m’a embêté !!!!!!!!!!!! N’as-tu plus des morceaux de papier a grain ?? Si oui, expédie m’en, je te prie quelques bribes. –

Allons ! tu as bien mérité de notre art ! Adresse moi la formule du « Vernis Électrique ». * * afin de t’éviter l’ennui des envois Le titre est bon, gardons le ! Et faisons de bonnes choses avec cela !

Seulement MOTUS sur tout cela maintenant ! Plus que jamais !

MOTUS !!!!!!!!!!!!