Lettre de Félicien Rops à [Adolphe Popp]

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Je n’ai pu me rendre à Blankenberghe au jour promis, – les tramways ne correspondaient pas avec le départ du train. J’ai deux choses à te demander & une 3e en plus :

1° de faire le plus tôt possible parvenir cette lettre à ton aimable gendre Léon Dommartin

2° de m’envoyer l’adresse de Mme Bardin, que j’ai égarée.

3° de me dire comment tout ton monde charmant se porte

Je compte aller à Heyst & je t’en aviserai. – En attendant je fais des études de nu dans un coin charmant de Bretagne que les peintres ont découvert & qui jusqu’à présent n’est pas trop envahi par les Philistins, cela s’appelle :

Portrieux

(Cotes du Nord)

écris moi chez Madame

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Pommeret

Gd Hotel du Talus

Portrieux (Côtes du Nord)

À bientôt Mon Vieux Compagnon d’antan, rappelle moi au bon souvenir de toute ta famille je te prie, & ne manque pas de faire parvenir cette lettre à Dom. Je n’ai pu le voir à mon passage en Belgique il était à Londres.