Lettre de Félicien Rops à [Léon] Evely. s.l., 0000/00/00. Bruxelles, Bibliothèque royale de Belgique, III/215/1/1
Page 1 Recto : 1Mon Cher EvelyVoici les renseignements :On se sert toujours d’un grain d’aqua-teinte fort léger. Ce grain que l’on efface en brunissant légèrement à l’ébarboir ou au brunissoir, ou qui disparaît si l’on tire quelques épreuves, sert à retenir le vernis & à lui donner plus de solidité. Dujardin & Charreyre se servent toujours d’un grain. Je m’en étais du reste aperçu :Le cliché remis avec des points de repère est une forte blague comme je vous l’avais du reste laissé entrevoir aussi. C’est de toute impossibilité. Les points de repère des planches sont indiqués pour les imprimeurs. Vous le verrez du reste à l’essai.– Il y dix ou douze espèces de vernis mais la dessus pas de renseignements.Page 1 Verso : 2Le grain est un grain d’aqua-teinte donné avec la boîte dont je vous ai donné le dessin. On essaie le grain sur les marges du cuivre.On fait mordre à l’acide azotique – ou au Seymour Haden ou au perclhorure de fer.On peut aussi faire un grain liquide composé de- Éther 120