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J’ai promis à Demolder pour son étude patronymique de lui reproduire quelques-unes des devises gravées qui ont orné des ouvrages faits jadis pour le plaisir des yeux et des âmes attristées par le grand Schopenhauer et le très impalpable Bourget, toujours si bien culotté que le contraire n’a jamais pu avoir lieu ! Oh ! ces tailleurs anglais, quels gardiens de l’humaine pudeur ! C’est Barbey qui avait confié ce secret à Bourget que les dames sémites appellent l’inébranlable auteur » depuis sa puberté !
Je t’enverrai donc deux devises :
1° ‒ Le dulcedo occulta, une betterave vue sans caleçon, avec la devise « Ma douceur est cachée » ;
2° ‒ J’appelle un chat un chat. Si l’on trouve quelque légèreté là-dessous, que Boileau l’endosse !